VI.HA. Rep.92 Becker H Nr. 887
2. Minister Herriot, Kultusminister, an C. H. Becker Paris, le 20 juillet 1927
Ministre de l’Instruction Publique, des Beaux Arts et de l’Enseignement technique
(handschriftlich)
Monsieur le Ministre et cher collègue,
Je suis informé d’un malentendu qui se serait produit à la dernière réunion en mai 1927, à Bruxelles, de l’Union Académique Internationale, ou du moins, à l’occasion de cette réunion où l’on espérait voir l’Allemagne adhérer. Il est possible que la cause de ce malentendu ait été l’opinion que l’Union Académique aurait refusé d’accueillir la coopération allemande. Sans vouloir en quoi que ce soit intervenir en une affaire qui ne me concerne point, je crois utile de vous faire connaître que, au contraire, les statuts de l’Union prévoient cette collaboration et qu’elle est souhaité par de nombreux savants francais.
Veuillez croire, Monsieur le Ministre et cher collègue, à mes sentiments de haute considération et à mon cordial souvenir. Herriot
3. C. H. Becker an Minister Herriot, Paris (Berlin), 10.8.1927
(Maschinenkopie)
(über das Auswärtige Amt, per Kurier-Abteilung abgesandt 10.8.27)
Herr Minister! Hochverehrter Herr Kollege!
Empfangen Sie meinen verbindlichsten Dank für Ihr freundliches Handschreiben vom 20. Juli, das mir im Verfolg unserer persönlichen Besprechungen besonders willkommen war.
Wenn die deutschen Akademien der Union Académique Internationale in der Mai-Tagung 1927 in Brüssel nicht beigetreten sind, so ist dies nicht auf ein Mißverständnis zurückzu-führen. Ich darf wohl als bekannt voraussetzen, daß die Delegierten der Vereinigten Staaten von Amerika, Norwegens und Hollands, die die Aufnahme Deutschlands und Österreichs in die Union vorgeschlagen hatten, auf der Mai-Tagung ihren Vorschlag vorläufig zurückge-zogen haben mit dem Vorbehalte, ihn später zu erneuern. Die deutschen Gelehrten wissen, daß die Union dem Beitritt Deutschlands nicht entgegen ist, und daß die Statuten den Beitritt nicht hindern.
Mit lebhaftem Danke und mit Freude nehme ich Ihre Mitteilung auf, daß der Beitritt Deutschlands zur Union von vielen französischen Gelehrten gewünscht wird. Auch die deutschen Gelehrten sind der Zusammenarbeit mit der Union grundsätzlich geneigt. Sie halten es aber im Interesse der künftigen gemeinsamen wissenschaftlichen Arbeit für geboten, daß vor ihrem Eintritt über die Durchführung und die Abgrenzung einiger wissenschaftlicher Unternehmungen der Union sowie der deutschen Akademien eine Verständigung erfolgt.
Eine erste Schwierigkeit liegt darin, daß die Union nur die Geisteswissenschaften betreut, während die deutschen Akademien die Geistes- und Naturwissenschaften umfassen. Ferner bedarf es einer Verständigung über die Fragen des Sitzes und der Geschäftssprache der Organisation sowie über das Verhältnis der großen Wissenschaftsunternehmungen zu ähn-lichen Unternehmungen der deutschen Akademien. Über diese Fragen haben nach der Brüsseler Tagung gelegentlich der Vorverhandlungen des Internationalen Ausschusses für historische Wissenschaften (Comité international des sciences historiques) in Göttingen persönliche Besprechungen von Mitgliedern der deutschen Akademien mit Professor de Sanctis-Italien und anderen der Union angehörenden Gelehrten stattgefunden, und Ende Juli ist den Akademien Amerikas, Norwegens und Hollands eine Denkschrift des Kartells der deutschen Akademien übermittelt worden, in der die Bedenken und Wünsche, die die deutschen Gelehrten mit Bezug auf ihren Eintritt hegen, in loyaler Offenheit dargelegt sind, zugleich jedoch betont wird, daß grundsätzlich der Wunsch nach Zusammenarbeit bestehe.
Ich will gern mit Ihnen hoffen, daß die noch schwebenden Verhandlungen zu einem Einvernehmen führen werden.
In ausgezeichneter Hochschätzung begrüße ich Sie, hochverehrter Herr Kollege, als Ihr aufrichtig ergebener (CHB).
4. C. H. B. an Minister Herriot. (Berlin), 18.10.1928
(Maschinenkopie)
Hochverehrter Herr Herriot!
Da ich weiß, mit welchem großen Interesse Sie die internationale geistige Zusammenarbeit fördern, gebe ich mir gern die Ehre, Ihnen Herrn Professor Dr. Jäckh, den Vorsitzenden des Geschäftsführenden Ausschusses der Deutschen Hochschule für Politik in Berlin, vorzu-stellen. Herr Jäckh, der für die Pflege der geistigen Beziehungen zwischen Frankreich und Deutschland und zwischen Nordamerika und Deutschland viel geleistet hat, befindet sich in Paris auf Einladung des Institut International de Coopération Intellectuelle.
Ich habe Herrn Jäckh gebeten, Ihnen meine besten Wünsche zu sagen.
Ich hoffe, daß es Ihnen in Berlin gut gefallen hat und bin mit dem Ausdruck meiner ausgezeichneten Hochachtung Ihr sehr ergebener (CHB).
5. Minister Herriot an C. H. B. Paris, 28 octobre 1928
(handschriftliche Briefkarte)
Mon cher collègue,
Je ferai tout mon possible pour être utile à M. le professeur Jäckh. Je vous remercie à nouveau pour votre cordiale hospitalité à Berlin. J’espère bien vous recevoir à Paris.
Bien à vous Herriot.
6. C. H. B. an Président Edouard Herriot, Mairie de Lyon. (Berlin, o.D. 23.9.1929?.)
(Telegrammentwurf)
Erfahre soeben vom Grafen Coudenhove, daß Sie am 10.ten Oktober in Berlin sprechen werden. Würde mich sehr freuen, Sie am gleichen Tage um 2 Uhr zum Lunch bei mir begrüßen zu dürfen. Kultusminister Becker.
7. Präsident Herriot an C. H. B. Lyon, 24.9.1929
(Telegramm)
Très touché votre aimable invitation. Accepte avec empressement. Herriot
8. C. H. B. an Präsident Herriot, Lyon (Berlin), 22 juillet 1930
(Maschinenkopie)
Monsieur le Président, cher collègue,
On m’a prié de vous recommander les représentants de la Volkshochschule Jena qui ont l’intention de visiter les institutions publiques de l’administration de votre belle ville de Lyon. La Volkshochschule Jena est une institution très sérieuse et d’une tendance purement républicaine. Je vous serais très reconnaissant si vous permettiez à ces jeunes gens de visiter vos institutions pour approfondir leurs éducation économique et sociale.
C’est avec le plus grand plaisir que je profite de cette occasion pour vous renouveler l’expression de mes sentiments les plus distingués et cordiaux. (CHB)
9. Président Edouard Herriot an C. H. B. Lyon, le 30 juillet 1930
Mairie de Lyon
(Maschinenmanuskript)
Monsieur le Ministre,
J’ai l’honneur de vous accuser réception de votre lettre du 22 courant, appelant mon attention sur la Volkshochschule Jena dont les membres ont l’intention d’effectuer un voyage d’études en France, et de s’arrêter à Lyon.
Vous pouvez être assuré que tout le possible sera fait pour faciliter aux membres de ce Groupement les visites qu’ils se proposent de faire.
Agréez, Monsieur le Ministre, l’assurance de ma considération distinguée. Le Maire
(handschriftlich: ) Cordialement à vous Herriot.
10. C. H. B. an Präsident Edouard Herriot, Lyon (Berlin), 17 août 1930
(Maschinenkopie)
Cher Monsieur Herriot,
Vous avez eu la grande amabilité de nous envoyer un petit volume «Sous l’Olivier». Ma femme et moi nous sommes vraiment touchés de ce précieux souvenir. Recevez nos remercîments les plus sincères.
Vous parlez du Balcan et de la Grèce. Je suis hautement interessé dans toutes les questions orientales, et j’adore les beautés de la Grèce, ses antiquités et son incomparable nature. Il y a une trentaine d’années que j’ai visité les mêmes endroits qui sont l’objet de vos études.
Excusez-moi si je me borne à un simple remercîment, mais je suis sur le point de quitter Berlin pour les Etats-Unis, c’est ce soir même que je partirai. (Ma femme et moi, nous serions très heureux de vous revoir, soit à Berlin) soit à Paris. Permettez-moi de vous exprimer mes sentiments les plus dévoués et distingués
(CHB)